TAMAN NEGARA - KOTA BHARU

Publié le par wibou

Le lendemain, je me prepare a donc faire une bonne centaine de kilometres en moto pour arriver vers Kuala Krai, y Motardpasser la nuit, et rejoindre claire le lendemain sur Kota Bharu, ville de depart pour les iles Perenthians.
Il s'avere que seul, la moto, est vraiment vraiment plus facile a piloter. Les 40 premiers kilometres dans les palmeraies sont vraiment pas evident a negocier, entre les camions, les nids de poules, les virages et les serpents qui traversent, je ne suis pas trop a l'aise. Mais ca passe.
Je commence donc a reprendre la "nationale" 8 et j'atteinds vite la vitesse de croisiere de 90 km/h. Bien que ballote par les camions, effrayes par la conduite ultra-dangereuse des voitures (jusqu'a 2 voitures et un camion sur la meme voie...avec vous derriere le camion !) et toujours assez prudent. Finalement je me retrouve a Kuala Krai vers 15 h, je decide donc de filer tout droit vers Kota bharu pour y retrouver Claire un jour plus tot que prevu. Arrive dans cette gigatesque ville, je me rends compte que j'y suis largement avant Claire. Je commence a bien prendre l'habitude avec cette moto et zigzague assez facilement entre les voitures. Un vrai petit malais !
 Je reserve donc l'hotel et la croise (par chance !) autour de l arret de bus quelques heures plus tard.

 

Gros varan

 

Kota BharuNous passons la nuit dans le petit hotel (Backpacker Inn) le moins cher depuis le debut du voyage. Le patron fait aussi office de taxi pour se rendre a Kota Besut, port de depart vers les Perenthians. Apres un bon repas indien,une heure passee au theatre d'ombre (tres sympa) de Kota Bharu et un passage eclair dans le salon de l'agriculture locale, une bonne nuit s'impose. 290 kilometres en moto sous un soleil de plomb ca se merite. Claire, quant a elle, a fait pres de 7 heures de bus (ultra-climatise) et avec ses blessures a prendre soin il vaut mieux se la jouer sans risque.

 

Theatre d'ombre

Nous partons ainsi en compagnie de Matt, un allemand qui fait un tour d'Asie et avec qui nous resterons la plupart de notres sejour sur l'ile. A nous la plage, les cocotiers...malgre les blessures. Et puis je m'apprete a revoir Jean, mon pote marseillais qui a son bar et qui pourrait avoir du boulot pour moi.

 

Perenthians kayak

Publié dans PENINSULE MALAISIE

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